Comment se passe une IVG ?

IVG

Publié le : 26 février 20209 mins de lecture

D’abord, on parle d’IMG (interruption médicale de grossesse) ou ITG (interruption thérapeutique de grossesse) quand l’intervention est justifiée par des causes médicales, que l’embryon ou le fœtus est atteint d’une maladie incurable et grave au moment du diagnostic, ou que la poursuite de la grossesse soit risquée pour la santé de la mère. Mais ici, il est question d’une IVG ou interruption volontaire de grossesse qui indique un avortement provoqué pour des raisons non médicales, dans un cadre constitutionnel, à la suite d’une décision familiale ou personnelle. Par contre, on parle d’avortement clandestin quand l’intervention est faite en dehors des modalités établies par la loi. Alors, comment se passe une ivg ?

Les démarches pour avorter

Pour avorter ou faire un avortement, plusieurs parcours sont à entreprendre. Cela forment les étapes différentes qui précède l’avortement ou comment avorter. Alors, il y a un entretien psycho-social qui est obligé pour les mineures, notamment pour le déroulement de l’IVG, avec deux examens préalables (obligatoires). Examiner la patiente est une étape primordiale pendant cette phase pour qu’elle puisse obtenir tous les renseignements indispensables (dont les risques, les différents lieux possibles de réalisation, les différentes méthodes), formuler sa requête, ainsi la sage-femme ou le médecin lui délivre un certificat de demande d’IVG. Et d’ailleurs, c’est l’occasion de parler des maladies sexuellement transmissibles et la contraception. Enfin, la sage-femme ou le médecin lui offre la possibilité de faire un entretien psycho-social guidé par une conseillère conjugale, ce qui est inévitable pour les mineures, mais facultatif pour les femmes responsables.

Alors, la sage-femme ou le médecin précisera toutes les étapes et saisit l’acte du choix de la femme en ce qui concerne le procédé (chirurgicale ou médicamenteuse), ainsi que le lieu de son achèvement (établissement de santé, centre de soin, domicile) selon sa situation et les délais constitutionnels. Pour réaliser un IVG à Toulouse ou IVG rapide à Toulouse, rendez-vous sur comment avorter.

Techniques par voie chirurgicale

L’ivg chirurgicale consiste à retirer l’embryon, c’est-à-dire à l’aspirer à l’aide d’une canule conduite dans l’utérus. Une dilatation préalable du col de l’utérus est essentielle durant cette opération avec une anesthésie qui peut être générale ou locale. Cette méthode chirurgicale représente un taux de réussite de 99,7 %. 75 % des patientes favorisent habituellement l’anesthésie générale pour ne pas participer à l’opération. Autrement, L’avortement sous anesthésie locale n’est pas douloureux, excepté pour certaines femmes qui peuvent sentir des souffrances semblables à celles qui sont fournies par les règles pendant quelques minutes quand l’aspiration est finie. Même si les difficultés se divergent, les deux types d’anesthésie ont une aisance identique mais la mise sous doxycycline ou antibiotiques est d’habitude ce qui permet de réduire les complications bactériennes d’un curetage (une autre technique chirurgicale qui consiste à l’utilisation d’une curette au lieu d’un aspirateur).

Techniques par voie médicamenteuse

L’hospitalisation n’est pas nécessaire pour la méthode médicamenteuse cependant, il est réservé à des grossesses peu avancées, c’est-à-dire un délai pour avorter par médicament (jusqu’à 5 semaines de grossesse, soit 7 semaines d’aménorrhée d’après la législation française). Autrement, il faut user une méthode chirurgicale au-delà et jusqu’au borne du répit juridique d’accès à l’IVG. La méthode chimique ou médicamenteuse consiste en l’absorption consécutive de deux produits qui agrée un avortement avec renvoi complète de l’embryon : le misoprostol, similaire à la prostaglandine E1 (qui permet l’évacuation de l’œuf et augmente les contractions), et la mifépristone (RU 486) à une démarche anti-progestative (qui a pour conséquence d’interrompre la grossesse). Bien que cette donnée soit contredite, cette technique semble plus active quand le misoprostol est attribué par voie endovaginale (près de 95 % de réussite). La voie endovaginale a le privilège d’être supportée davantage. Notamment, un tabagisme ou un âge supérieur à 35 ans exposent à des risques cardio-vasculaires. Il est déconseillé en cas de suspicion de grossesse extra –utérine, en cas d’allergie à la mifépristone, autres contre-indications à l’usage de prostaglandines, d’antécédent cardio-vasculaire, de troubles de la coagulation, d’anémie, de bronchite obstructive, d’asthme sévère, surrénalienne, hépatique, et en cas d’insuffisance rénale aiguë ou chronique. Si la femme enceinte désire conserver son anonymat, l’IVG doit être fait dans un établissement de santé. Toutefois, cette méthode médicamenteuse consent à un avortement à domicile, dans ce cas, un climat favorable et propice est essentiel. En outre, tout médecin qui pratique des IVG médicamenteuses doit signer un contrat avec un établissement de santé qui est qualifié à pratiquer des IVG. Au moins 5 consultations médicales sont nécessaires dans ce cas : un examen pour la prise de la misoprostol et un autre pour la mifépristone, 2 examens médicaux préparatoires, et puis une consultation de contrôle après 15 jours.

Les risques reliés à l’IVG

On peut dire que cette méthode est semblable à une fausse couche, un accouchement ou d’autres interventions chirurgicales. Dans ce cas, avec la médicalisation de l’IVG, les dangers sont maintenant très exceptionnels. D’abord, les risques liés à l’ivg médicamenteuse sont les douleurs qui peuvent ne pas s’amoindrissent par la prise de médicaments, une fièvre sachant être le signe d’une infection si l’œuf n’aurait pas été renvoyé parfaitement, des saignements très abondants qui peuvent être le signe d’une hémorragie. Mais ces risques sont maîtrisés et rares.

Les risques liés à l’IVG chirurgicale peuvent adhérer plus tardivement ou au cours de l’intervention. Il existe deux risques post-opératoires dont une infection qui réclamera la prise d’antibiotiques, et une rétention (il se peut que la grossesse n’ait pas été entièrement aspirée. Alors, il faudra prendre des antibiotiques et dans certains cas, ce qui est très rare, recourir à une deuxième opération). Autrement, il se peut qu’il existe des dangers attachés à l’anesthésie mais l’examen d’anesthésie préopératoire est nécessaire en cas d’anesthésie générale, qui permet de diminuer largement ces risques. En tout cas, une visite d’expertise est établie suivant l’IVG chirurgicale sous 15 jours dans le but d’assurer l’absence de problèmes post IVG.

La contraception après l’IVG

Il se peut qu’il existe une éventualité de nouvelle grossesse très vite à la suite d’un avortement. Donc, il faut tout suite choisir une contraception adaptée. Celle-ci est modifiable, mise à part la stérilisation à visée contraceptive, et aussi elle évite les grossesses non programmées. D’abord, il y a les stérilisations à visée contraceptive, ceux qui sont légaux. Puis, les contraceptives à utiliser localement dont le préservatif féminin et masculin, la contraception d’urgence et les méthodes de prévision de l’ovulation. Ensuite, il y a les contraceptions quotidiennes dont la contraception progestative (pilule progestative ou micro pilule) et la contraception orale estroprogestative (pilule). Et pour finir, il y a les contraceptions de longue durée dont l’anneau vaginal contraceptif et les patches contraceptifs, l’implant contraceptif, et le dispositif intra-utérin (DIU) ou stérilet. Mais pourquoi ne pas calculer la meilleure période d’ovulation ? Il faut soustraire 14 jours de la durée du cycle (14 jours avant les prochaines règles), pour savoir le jour de l’ovulation et le moment la plus féconde du cycle donc.  

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